Série LAdultère « Kathleen » : (Partie 20). LHistoire DUne Tromperie Pas Comme Les Autres. (Épisode 1/3)
Samedi 17 octobre 9 heures
Je me nomme Kathleen, lhistoire que vais vous raconter a débuté lan dernier. Javais trente-deux ans, mariée depuis quatre ans à Guillaume un homme charmant de quarante ans que javais rencontré à la sortie de mes études de commerce. Je suis blonde avec de longs cheveux légèrement bouclés marrivant sur les épaules. Mon physique me plait, je mesure 1,68 m pour 59 kg, jai de longues jambes fines et musclées avec des fesses arrondies et bien galbées. Mais jai surtout de très beaux seins symétriques, ronds et fermes et que de nombreuses femmes jalousent et que presque tous les hommes aimeraient palper. En effet, je suis très fière de mon 90B, cest la raison pour laquelle, je mets ma poitrine toujours en valeur.
Au travail et pour les sorties avec certaines tenues, je porte des soutien-gorge sans bretelles, invisibles sous les vêtements avec un fini dentelle ne recouvrant que les tétons, élégant avec une forme push up, ce qui permet de recentrer le buste et offre ainsi un décolleté pulpeux et plongeant. Je suis le plus souvent en jupe, quelques fois en robe courte et légère car jaime que lon voit mes jambes même si je porte des bas autofixants lorsque la température baisse. En tenue décontracté, jaime toutefois être en jean-basket, mais cela ne plait guère à mon mari.
Je travaillais depuis plusieurs années dans une PME de 80 salariés où joccupais le poste de secrétaire comptable, je vérifiais tous les devis des commerciaux, les modifiaient et les corrigeais au besoin, jétablissais toutes les factures et jaidais ma collègue Sandrine, au moment des payes. Vu les compétences acquises depuis mon embauche, je connaissais tous les produits sortant de latelier et leur temps de fabrication. Étant réservée mais pas timide, je métais liée damitié avec mes collègues de ladministration et du service commercial, jétais appréciée par mes supérieurs et respectée par tous les salariés de lentreprise.
Mon mari Guillaume était chef de maintenance dans une petite entreprise fabriquant des pièces métalliques. Lui aussi avait un bon salaire et il avait la chance de ne pas faire les tournées, il était affecté uniquement de journée. Pour des raisons professionnelles, je navais pas encore d même si cétait le rêve de Guillaume qui désirait que je lâche un peu mon boulot pour moccuper un peu plus notre intérieur. Cétait la réalité, je nétais pas une grande cuisinière, ni une bonne ménagère. Ayant des horaires plus souples que les miens, mon mari en faisait beaucoup à la maison.
Heureusement, nous pensions nous aimer et nous nous entendions bien, sur de nombreux sujets, nous nous disputions rarement, sauf peut-être au moment de laspirateur, car le bruit de notre engin lempêchait dentendre sa musique ou la télé. Nous entendions ces jours-là de ma part : « Tu nas quà le faire » et lui rétorquant : « Tu crois que je nen fais pas assez à la baraque ? ». Mais aussi lorsquil ne me faisait pas confiance, il voulait peut-être gérer tout, seul sans mon aide, ce qui me gênait profondément. Après nos petites disputes, nous nous prenions dans les bras lun de lautre et nous nous embrassions tendrement.
Cétait sur le plan sexuel que le bât blessait, jaimais faire lamour et prendre du plaisir. Depuis que je vivais avec Guillaume, il nétait jamais parvenu à me faire prendre un véritable orgasme. Je jouissais certes mais très faiblement et pas assez souvent à mon goût car il nétait pas très performant. Dautre part, il nétait pas trop porté sur le sexe et il manquait cruellement dimagination. Jaurais aimé jouer autre chose quau papa et à la maman, mes envies de faire lamour me venaient soudainement. Lorsque je voulais quil me prenne à la cuisine ou sur la terrasse ou même sur le fauteuil du salon, il trouvait toujours une bonne excuse pour échapper à ses devoirs conjugaux et cela javais du mal à accepter.
Pour lui, très prude et pudique, faire lamour consistait à se mettre nu dans un lit, sembrasser, se caresser et me pénétrer lorsquil obtenait son érection, rarement totale soit dit en passant. Lorsquau début je lui faisais une fellation, il se retirait de ma bouche car il allait éjaculer trop vite. Il nappréciait pas non plus de lécher ma petite chatte ou de me sucer le clitoris. Cela semblait le dégouter et il avait limpression dêtre un pervers en faisant ces choses-là. Je pense que ce nétait pas de sa faute, cétait léducation quil reçut dans ma belle-famille où avec leur religion, les plaisirs charnels étaient tabous. Enfin, je men étais fait une raison et quelque fois, lorsque le besoin sen faisait sentir, je me masturbais dans la salle de bain ou au lit lorsquil dormait à côté de moi, cela avait le pouvoir de mexciter encore plus, sachant quà tout moment il pouvait me surprendre en se réveillant ou en pénétrant dans la salle de bain.
Je lui avais déjà parlé plusieurs fois de mes besoins sexuels depuis notre mariage mais il semblait faire la sourde oreille. Il essayait de me contenter pendant une semaine puis très vite, tout retombait dans la monotonie et la routine. Un an et demi plus tard, je lui reprochais une nouvelle fois sa faiblesse sexuelle, il sétait contenté à ma grande surprise, de me dire en souriant, de prendre un amant. Je savais très bien quil avait dit cela sur le coup de la colère mais depuis lidée de trouver un homme sachant me faire du bien, me trottait dans la tête.
Ce nétait pas les occasions qui me manquaient, surtout au travail avec certains salariés, les jeunes commerciaux et les nombreux clients qui me draguaient, jaurais pu déjà le tromper à plusieurs occasions. Toutefois il était hors de question que je trahisse Guillaume et que fasse cela dans le cadre professionnel. Pourtant Jérôme Vaillant, ce beau commercial de 40 ans, fraichement remarié, avait toujours essayé de me draguer depuis mon arrivée dans lentreprise.
Las de mes refus catégoriques, il avait renoncé à me faire ses avances, surtout depuis quil sortait avec Sandrine la comptable. Jaimais plaire à la gente masculine, cela me fascinait beaucoup et mamusait aussi de porter des vêtements sexy afin dêtre désirée. Attention, lidée était là, il ne fallait pas que je franchisse la ligne blanche. Pourtant un mois plus tard, Guillaume navait fait aucun effort pour assumer ses devoirs conjugaux.
Ce soir-là, il était 16 heures, jétais avec Sandrine à la machine à café, lorsque lon vit Jérôme venir vers nous. Après avoir fait une bise sur la bouche de sa femme, Il me mit la main sur la hanche, se pencha et me déposa ses lèvres sur ma joue en disant « Salut Kat ». Le contact de sa bouche sur ma peau fut pour moi lagent déclencheur.
Nous avons parlé de tout et de rien comme souvent à la pause puis Sandrine nous avait quitté. Nous nous sommes fixés dans les yeux et nous avions compris quil se passait quelque chose. Il me prit la main et me dit :
Comme tu es bandante Kat un vrai canon.
Javais adoré ses propos et lui répondis du tac au tac :
Tu nes pas mal non plus tu sais !
Jétais tellement en manque de sexe, que josai faire le premier pas. Je lai immédiatement invité à me rejoindre discrètement en prétextant que je devais lui montrer une erreur sur un de ses devis.
Je réalisai avec lui un de mes nombreux fantasmes, être possédée sauvagement sur un bureau. Je navais pas attendu, je métais jeté sur lui en lui défaisant son pantalon et après une petite fellation, je métais couchée à plat, mes seins collés sur la plaque de verre, la croupe bien en arrière et lui demandai de me prendre sans attendre. Il bandait depuis mon invitation, rien quà la pensée de pouvoir me baiser. Il me releva la jupe, écarta mon string et me perfora avec sa verge dun beau gabarit en me ramonant à grands coups de rein. Ce quarantenaire avait su me procurer du plaisir en me prenant comme une bête, tout en me traitant de : « Salope, sale pute, je vais ten mettre plein le cul.
Avant den parler à Guillaume, jattendais la suite de mon incartade mais celle-ci ne vint pas. Sandrine se doutant de quelque chose avait mis en garde son mari. Jérôme men parla le lendemain et dun commun accord, nous avions suspendu notre relation. Plus les mois passaient, plus je me languissais de trouver un homme sachant mapporter ce que je recherchais.
Ce ne fut que deux ans plus tard, un lundi matin, lors de la réunion hebdomadaire du début de semaine, mon chef de service me prévient que, dès mon arrivée je devais me rendre dans le bureau du patron. Je ne savais pas pour quelle raison jétais convoqué et jappréhendais beaucoup car le boss était une personne presque inaccessible dans lentreprise et lorsque quun salarié y était convoqué, en principe cétait pour une remontrance. Ce fut blanche et morte de peur que je pénétrai dans son bureau après avoir frappé, en restant immobile devant la porte capitonnée :
Bonjour Kathleen ! Quavez-vous ? Installez-vous, jai à vous parler.
Bonjour Monsieur Guérin
Répondis-je dune voix chevrotante.
François Guérin avait un certain charisme, il était impressionnant, grand, bedonnant, presque chauve avec une grosse moustache poivre et sel. Ses lunettes à monture épaisse, lui donnait un air encore plus sévère. Néanmoins, lorsquil mavait souri en minvitant à massoir en face de lui, je compris que je nétais pas convoquée dans son bureau pour recevoir quelques remarques désobligeantes :
Kathleen, vous savez que nous sommes très bien implantés dans le grand Est mais nous devons nous développer pour faire face à cette crise financière.
Oui, je devais en parler ce matin à la réunion, notre nouvelle unité de production ne tourne quà 50%, il faut donc pour la rentabiliser, trouver dautres clients.
Justement Kathleen, vous êtes dans le vrai et cest là que jai besoin de vous. Dit-il en lui expliquant son problème.
Voulant se développer en France où la concurrence faisait rage, par lintermédiaire dun ami commun, François était rentré en contact avec un industriel Lyonnais qui pouvait représenter à lui seul 20% de notre chiffre daffaire. Il fallait donc le convaincre à nous choisir parmi nos concurrents. Depuis plus dun an, Jérôme Vaillant, un des meilleurs commerciaux sy afférait mais à chaque fois, il échouait dans les négociations et ne parvenait pas à obtenir ce marché tant convoité. François Guérin après enquête, sut que cétait au niveau du fils que cela coinçait. Cet homme aimait trop les femmes et avait choisi à chaque fois les produits présentés par une commerciale belle et jolie.
Mon patron ne savouait pas vaincu, il voulait sen occuper personnellement, il me proposa donc de venir avec lui le mercredi et jeudi de la semaine suivante, rencontrer ces clients potentiels récalcitrants. Lui répondant que je nétais pas commerciale que je ne pouvais donc pas faire laffaire, il me rétorqua quau contraire, jétais la personne la plus à même à convaincre ce fils prétentieux et très fier de sa personne et que ma beauté serait, sans en douter, le petit plus. Jétais estomaquée, mon patron voulait se servir de mon physique pour parvenir à ses fins.
Je fus prise entre deux sentiments, dune part jétais très fière de ce compliment mais dautre part, je fus vexée de me sentir aussi petite, encore un homme qui ne prend les femmes que pour des potiches. Je ne pus mempêcher dêtre franche et directe sans penser aux conséquences :
Vous me prenez pour une Escort-girl ?
Non Kathleen, ne vous méprenez pas sil vous plait, je me suis mal exprimé. Vous connaissez tous nos produits sur le bout des doigts, de la matière première au conditionnement en passant par sa fabrication, tous les coûts, les marges. Avec votre aide, je négocie et je vous laisse finaliser.
Après de longues minutes de discussion, je compris que mon patron mestimait beaucoup, non pas pour mon cul mais réellement pour mes compétences. Javais accepté sa proposition mais je devais passer une nuit à lhôtel et ce serait la première fois que je ne dormirais pas avec mon chéri. Guillaume nétait très enchanté de la situation, néanmoins il savait que mon travail était très important pour moi et financièrement parlant, jobtiendrais une commission sur toutes les commandes à venir et futures si nous obtenions le marché.
Pour me faire pardonner de mon absence, la veille de mon départ, je métais donné à fond à mon mari. Je navais pas simulé, je voulais quil prenne son pied et que cela le décide à recommencer dès mon retour. Ce soir-là, je commençai mes attouchements après le diner, je me frottais à lui comme une chatte à chaque passage à ses côtés puis lorsquil était face à lévier, je me collai à lui lenserrant dans mes bras. Mes caresses intimes commençaient à faire son effet et il ne mavait pas repoussée gentiment comme à son habitude. Il se retourna et membrassa.
Après ce baiser passionné, je magenouillai, baissai son short et dune main posée sur la base de sa hampe et lautre sur ses testicules que je massais délicatement, je plaçai ma bouche devant ce gland rouge sang et lavalai avec gourmandise. Je devais faire attention de ne pas enfoncer son pénis jusquà la garde, je connaissais trop bien mon mari, je savais quil éjaculerait instantanément. Jaspirais son gland à deux, trois reprises puis tournait ma langue tout autour et ressortais sa belle queue pour la lécher tout au long de sa veine gonflée et je recommençais.
Son érection était parfaite pour une fois, son pénis dur et droit pointait vers le plafond. Il semblait apprécié car il me demanda de recommencer, ce que je fis volontiers. Mais à la troisième reprise, il sentit quil ne tiendrait plus longtemps, il me prit sous les aisselles et me releva. Suffisamment intelligent, Guillaume savait que nous ne baiserions pas dans le lit conjugal ce soir. Il me demanda si je voulais faire lamour à la cuisine. Sans attendre ma réponse, il me porta et je me retrouvais assise au bord de la table. Je me penchai en arrière, reposai mes bras derrière moi, agrippant les rebords de la table et lui demanda de soccuper de ma petite chatte.
Il saccroupit devant moi, tout en me caressant du bout des doigts lintérieur de mes cuisses, il lécha mes grandes lèvres, passa sa langue dans ma fente humide et aspira même mon clitoris gonflé de désir. Je mouillais, mon excitation prenait de lampleur, je désirais quil poursuive encore et encore, javais besoin de beaucoup de préliminaires mais lorsquun effluve de cyprine séchappa de mon vagin pour sécouler dans sa bouche, il eut un haut le cur, il stoppa net ce cunnilingus et se releva en essayant de ne pas me montrer son dégout.
Sa verge était redevenue presque molle, je me redressai et tout en restant assise, je me mis à le masturber de nouveau. Il était debout devant moi, il nosa pas me demander mais je compris quil voulait que je le suce de nouveau. Après une fellation gourmande de ma part, très vite son érection repris forme, sa queue était en pleine expansion. Il me repoussa délicatement dans ma position initiale sur la table et approcha sa verge à lentrée de mon vagin. À ce moment-là, je savais que je ne prendrais pas dorgasme car après quelques va et vient tout en douceur, je sentis son sperme couler par saccades à lintérieur de mon sexe. Afin de ne pas le décevoir, je mimai ma jouissance ce qui eut pour effet de lui redonner le sourire.
Quoiquil en soit, javais tout de même apprécié cette petite sauterie, Guillaume avait fait de très gros efforts et cela uniquement pour me faire plaisir. Javais très apprécié et après nous être embrassés et essuyés, nous avions poursuivi nos tâches ménagères avant de nous coucher dans les bras lun de lautre. Javais essayé de le faire bander une nouvelle fois mais il mavait gentiment repoussée, prétextant quil était fatigué de sa journée et que je devais me lever tôt le lendemain. Je lui souris, lui posa mes lèvres sur les siennes dans un dernier bisou avant quil ne sendorme.
Je métais masturbée deux fois avant de mendormir comme une souche, épuisée par mes jouissances successives. Le lendemain matin, malgré ce lever à laube et une nuit courte, jétais en grande forme et bien décidée de réussir ma mission. En embrassant mon chéri avant de partir pour deux jours, jétais à mille lieues de penser que jallais franchir cette ligne et tromper Guillaume. Je vous raconterai cela dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, nhésitez pas à laisser votre commentaire. Je vous en remercie par avance, je compte sur vous.
Si comme Kathleen, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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